ELVIN ♣ We're in the neon lights, it's just you and me together.

★ VOUS ET LE GLEE CLUB

(réservé aux membres ou ex-membres)

◊ VOTRE LYCÉE : Campbell

◊ NOMBRE D'ANNÉES PASSÉES DANS LE GLEE CLUB : 2eme, et j'y suis toujours (2009-2010)

◊ IMPRESSIONS SUR LE GLEE CLUB ACTUEL : La banane électrique, j'ai toujours adoré ce nom. C'est spécial, original et ça a le don de déstabiliser nos adversaires. Par adversaires j'entends bien sûr ceux du lycée Roosevelt. Je sais que nous sommes bien plus doués qu'eux, nous avons du talents et les gens de la ville seront toujours les premiers à vous le confirmer. Bref, je suis très confiant en ce qui est du glee club, au prochaine audition on va leur montrer ce dont on est capable, aucun doute ! Ils n'auront aucune chance..

◊ VOTRE CARACTERE :
Je ne suis pas difficile à cerner, ce sont plutôt les gens qui se font facilement une mauvaise image de moi. Vous voyez le terminal super populaire toujours une jolie blonde accroché à son bras ? Et bien c'est comme ça que la plupart des gens me voient, ces gens là, je les déteste tout simplement. Mais puisque je me contrefous de l'image que je donne, je laisse couler. Part contre, lorsque quelque chose ne me plaît pas, je n'hésite pas à le dire et j'ai tendance à un peu trop le faire je l'admet. Je me mêle de tout, je donne tout le temps mon avis en gros j'aime pousser des coups de gueules constamment. Mais je suis loin d'être négatif et d'être toujours de mauvais poil, je suis quelqu'un de très positif. La vie m'a donné plusieurs fois des occasions de broyer du noir et de rester seul, mais j'ai cette capacité à me relever après un échec ou une déception. Je suis un battant, je n'abandonne jamais ! Part contre, chose que je déteste : que l'on me donne des ordres. Je m'estime libre de mes propres actes et l'autorité et moi on a jamais été copain. Même si plusieurs personnes (tel que mon père avec qui je m'entend extrêmement bien) ont su me canaliser. Je ne dis pas non plus que je suis une terreur voir un hyperactif, mais je me retiens rarement de faire ce dont j'ai envie. Mais pour moi, le groupe passe toujours avant la personne même si je ne suis pas un exemple de générosité. Disons que je me préoccupe rarement des autres si ce n'est de ceux qui me sont très proches. Au fond, je suis un grand passionnée. Lorsque quelque chose me plaît je m'y investit à fond que ce soit une relation ou une passion. Les deux sont tout aussi importantes pour moi ce qui a le don déplaire à quelques personnes.

◊ VOTRE HISTOIRE :
C'est lors d'une chaude journée de printemps à Point Place que j'ai vu le jour. Cette ville, je ne l'ai jamais quitté et ce n'est pas l'envie qui m'en manque. Mais disons qu'avec le temps j'ai tissé des liens spéciaux avec cet endroit et surtout ses habitants et je n'ai pour l'instant envie de les quitter pour rien au monde. Dès ma naissance, je savais que ma vie n'allait pas être des plus simples. Ma mère mourut en me donnant la vie, je ne pourrai vous expliquer comment c'est arrivé mais l'important est qu'elle n'est plus là aujourd'hui. J'ai donc grandit avec mon père uniquement et qui semblait encore plus souffrir que moi de l'absence de sa femme. On me dit souvent que je ressemble à mon père, ce qui a le don de me faire sourire car il a longtemps été mon modèle. J'étais un enfant sans problème, j'apprenais vite à me sociabiliser comme n'importe quel enfant développant également des passions. Quand d'autres garçons de mon âge se tournait vers le football, ou encore le basket je décidais d'apprendre à jouer de la guitare. Je me suis toujours senti musicien dans l'âme, c'est pourquoi très vite après les cours de guitares je commençais à apprendre à jouer de la batterie. La musique était pour moi une manière de tout extérioriser comme une sorte de thérapie. Bon il fallait l'avouer, je n'avais pas beaucoup de problème sachant qu'il y avait pire que moi dans ce monde mais je trouvais toujours de quoi me plaindre. La musique me passionnait tellement qu'en l'espace d'une enfance j'avais appris à jouer du piano, de la guitare, de la batterie et de la flûte traversière. Mon père était toujours là pour m'encourager, peu importe l'instrument. Je l'aimais pour ça. Le chant s'était vite ajouté à la longue liste de mes passions. C'était tout d'abord pour accompagner les instruments puis au fur et à mesure je commençais à apprécier. Mais il ne faut pas croire que forcément j'étais un gamin solitaire qui vivait uniquement de passion. En grandissant je m'étais fait encore plus social et en accord avec les gens. Je sais pas, je dois avoir une tête qui plaît vu qu'arrivé au collège les filles s'asseyaient à côté de moi et les garçons voulaient devenir mes amis. C'est d'ailleurs à ce moment là que j'avais décidé de me mettre au football suite aux encouragements de plusieurs personnes. Bonne idée ou pas en tout cas mon corps s'en retrouvait vite sculpté bien que le seul régime que je pratiquais était celui qui consistait à manger du chocolat constamment *O* . Pour ce qui est de ces prétendus amis, ils sont finalement partis vers quelqu'un d'autres après m'être énervé sur l'un d'eux. Je commençais alors à cerner les gens qui voulaient être mon ami que par intérêt, ce fut surtout le cas (et c'est toujours le cas) au lycée. La meilleure période de sa vie apparemment.. En tout cas, je me sentais à l'aise. J'ai conscience de ma popularité au lycée et de mon succès auprès des filles mais je n'en joue pas plus que ça. Je ne veux pas que l'on pense de moi que je suis stupide tout simplement parce-que la plupart des élèves de Campbell connaisse mon nom. C'est peut-être en partie pour ça que j'ai intégré le glee club dès ma première année. La musique était mon élément après tout.. Et j'avais l'occasion de rendre mon père fière de moi je n'allais quand même pas cracher dessus. Cela fait donc deux ans que j'ai intégré la chorale et je ne m'en porte que mieux, Mr Odell est vraiment un coach fantastique. Ma vie a pris un autre tournant grâce à ça et je peux briller en faisait ce que j'aime : chanter. Au fil du temps, je m'imposais comme leader, sûrement à cause de ma tendance à tout remettre en question et à ma persévérance. Et bien évidemment, je m'étais aussi mis à détester l'équipe adverse, celle du lycée Roosevelt. Pas par obligation mais surtout parce-qu'ils peuvent nous empêcher de remporter les titres que nous méritons de surcroit.